Vague de soutien extraordinaire d’éminents musulmans, de membres de gouvernements et de parlementaires face à la persécution accrue de la communauté bahá’íe d’Iran.
L’ancien Premier ministre, d’anciens ministres de la justice et des juristes de haut rang condamnent la récente décision de justice de confisquer des propriétés bahá’íes.
Un comité de l’Assemblée générale des Nations unies appelle l’Iran à respecter les droits de l’homme pour tous ses citoyens, y compris les membres de la foi bahá’íe.
La Communauté internationale bahá’íe appelle à la levée de toutes les charges et à la garantie des droits de tous les bahá’ís au Yémen.
Au cours des dernières semaines, les autorités iraniennes ont pris pour cible au moins 77 personnes à travers le pays malgré la crise sanitaire actuelle.
Une décision motivée par la religion est maintenue contre Hamed bin Haydara, qui a subi des années d’emprisonnement et de torture.
Les bahá’ís sont empêchés d’obtenir une carte d’identité alors que les arrestations et les attaques contre eux perdurent.
Après le bilan en matière des droits de l’homme, l’Assemblée générale de l’ONU a condamné l’Iran pour ses attaques contre les minorités religieuses, dont les bahá’ís.
Fin de la peine de prison injuste d’Afif Naeimi, mais des dizaines de bahá’ís iraniens sont toujours en prison et des milliers font face à des persécutions quotidiennes.
L’ONU appelle l’Iran à mettre fin au déni à l’éducation, à l’incitation à la haine, à la destruction des cimetières et à d’autres attaques contre les bahá’ís.